
de Paris (15ème)

auprès du Seigneur

tout âge

Horaires
MESSES DOMINICALES
Samedi :
- 18h à Saint Lambert.
Dimanche :
- 9h à Saint Lambert.
- 10h45 à Saint Lambert
- 18h30 à Saint Lambert.
MESSES EN SEMAINE
- Lundi : 19h à Saint Lambert.
- Mardi à vendredi : 8h30, 12h10* et 19h à Saint Lambert.
- Samedi : 8h30 à Saint Lambert.
*Cette messe n’est pas célébrée pendant les vacances scolaires.
ADORATION EUCHARISTIQUE ET LAUDES
- Jeudi à 19h30 pour l'adoration
- Du mardi au samedi à 8h10, à l’église (pendant la période scolaire) pour les Laudes
CONFESSIONS
- Mardi à Vendredi de 17h* à 18h45 à l’église
- Jeudi de 19h30 à 21h30 à l’église
- Samedi de 10h30 à 12h30 à l’église
- Samedi de 17h à 17h45 à l’église
- Dimanche de 10h à 10h45 à l’église
PERMANENCES D'ACCUEIL
A la maison paroissiale, au 2 rue Gerbert :
– du lundi au vendredi de 10h00 à 12h15 et de 14h30 à 18h30
– le samedi de 10h30 à 12h30)
A l’église, dans le bureau d’accueil à droite en entrant par la porte principale :
Un prêtre vous accueille (confessions possibles) :
– actuellement à l’église du mardi au vendredi de 17*h à 18h45 (*17h30 pendant les vacances scolaires.)
– et le samedi de 10h30 à 12h30 à l’église.
Feuille d’informations paroissiales :
Feuille de chants :
Editorial
Dis seulement une parole
Les lèpres du monde nous ont atteints. A la maladie, se sont joints, les conflits, les séparations, l’endettement, la perte d’emploi, … Chacun a sa propre histoire. L’exclusion et l’isolement ont amené la lassitude, l’amertume et bien des sentiments qui rongent le corps et le cœur.
Hors la ville, longeant ses remparts, on a entendu la venue de cet homme, Jésus, le guérisseur. Chacun de nous, dans sa création douloureuse, avait malgré tout, gardé en lui le souvenir d’une petite espérance. Son passage nous a fait crier tous ensemble : « Aie pitié de nous ». On aurait pu dire bien autre chose, revendiquer de meilleures conditions de vie, mais là vraiment, c’est le ras de bol de la déshumanisation qui nous a fait crier cela.
Honnêtement, on a trouvé sa parole, d’aller voir les prêtres, un peu convenue : celui qui racontera l’histoire ne le dira peut-être pas, mais on a vraiment discuté. Pas de guérison ? Encore une démarche administrative inutile. Jésus est-il celui que l’on croyait ? … Toi lecteur, qu’aurais- tu fais à notre place ?
Puisque à dix nous formions une assemblée, on a décidé de faire synode*, emportant chacun son histoire et sa lèpre. En cours de route, je crois que sa présence s’est attachée à moi, sa parole a pris sens progressivement : « va, vers Celui qui donne vie ». Alors, avec certitude, j’ai cru en sa parole. Je me suis retourné, j’ai couru vers lui et j’ai crié « Gloire à Dieu qui m’aime et me donne vie ».
Aujourd’hui, comment lui rendrais-je tout le bien qu’il m’a fait : Je veux lui dire, Eucharisto, merci, moi qui ne suis pas digne de te recevoir et à qui tu as dit seulement une parole, et j’ai été guéri.
*littéralement : faire route ensemble
Frédéric Niel, diacre